Cela ne faisait même pas vingts-quatres heures que j'étais sur le bateau et je m'y sentais déjà comme chez moi. Il y avait quelque chose qui me rendait euphorique, peut-être était-ce l'air marin ? Cependant j'étais heureuse d'être ici, même si la compagnie des premières classes que je devais supporter nuit et jours m'insupportait déjà. Je ne me plaignais cependant que rarement de cette condition, caar au fond j'étais bien logée, très bien nourrie et j'avais tout ce que je voulais. De plus Terence avait été très gentil de m'offrir ce billet, je n'allais pas non plus me mettre à lui en vouloir d'une certaine manière ! Le jour de mon arrivée j'avais fait des rencontres plutôt étonnantes, mais une m'avais marqué plus que les autres.

FLASH BACK

Je viens d'embarquer sur le splendide bateau qu'est le Titanic, mon coeur bat la chamade et un enorme sourie fend mon visage. Pour l'occasion je suis vétue d'une magnifique robe rouge et noire. Je suis sur le pont et n'en croit pas mes yeux, tout cela est trop beau pour être vrai, mais c'est bien réel. Terence pars ranger ses valises alors que moi j'ai encore les miennes en main. Je ne souhaitais pas qu'on me les porte, pas parce que j'ai quelque chose d'important ou à cacher dedans, juste parce que je pense que personne ne dvrait avoir à faire les "corvées" des autres. Cela fait maintrenant plusieurs minutes que je suis là, à regarer les allé et venues des passagers, lorsque je sens un regard insistant peser sur moi. Je met un certains temps avant de deceler la personne en question, c'est une jeune femme, brune, que j'ai l'impression d'avoir déjà vu quelque part, mais après tout ce n'est qu'une impression. Et ce n'est que lorsqu'elle s'avance vers moi et prend la parole que je comprend. « ils prennent vraiment n'importe qui sur les bateaux n'est-ce pas Mlle Salieri ? Ou plutôt devrai-je dire Envy ... » cette jeune femme m'a reconnu, par je ne sais quel "miracle". Je pense au début jouais la carte de l'ignorance, nier et mentir, c'est ce que sais faire le mieux après tout, mais ma tentative echoue misérablement face à tant de conviction et d'insistance. « je jure de ne pas vous dénoncer si vous m'accordez une interview, je veux tout savoir, comment vous vous y prenez, la vie de fugitif, la cavale ... » . Cette remarque me fait rire, cette jeune fille est donc journaliste, et elle veut m'interroger. Je sais que si Terence apprend ça, il risque très certainement de me passer un savon, mais qu'importe, rien ne vaut la fiérté d'être considérée comme une célébrité. Je me contente donc d'accepter d'un sourire provoquant et de m'en aller, de toute façon elle me retrouvera bien quand elle le voudra.

FIN FLASH BACK

Je me rappelais cette rencontre avec un sourire, il n'y avait pas à dire cette brunette en avait dans le ventre et dans la tête. Je me demandais cependant toujours comment elle avait reussi à me demasquer. Je n'avais pas raconté cette "aventure" à Terry, pour sa santé morale et surtout pour la mienne, il vallait mieux qu'il l'ignore encore un peu plus longtemps. Je ne pensais pas revoir la jeune femme rapidement, ce bateau était grand et il éait dur de trouver quelqu'un. Cependant alors que je marchais sur le pont une voie dans mon dos m'enleva ce doute. « bonjour, je m'appelle Josephine Littleton, je suis journaliste au "London's Gazette". » avec un sourire je me retournais et me retrouvais face à face avec cette "Josephine ". C'était en effet la jeune femme qui l'avait démasqué et elle était effectivement journaliste. De toute façon, qui d'autre qu'un journaliste aurait voulu une interview ?. Je lui souris puis regadais autour de moi, il y avait quelques personnes, je choisis donc je jouer sur la discrétion. « enchantée. je suis Requiem Salieri ! » je lui adressais un clin d'oeil puis un sourire, elle ne pensait tout de même pas que j'allais lui dire " bonjour je suis Envy, grand voleuse, recherchée dans toute l'Irlande ". Me tournant à nouveau je reperais un coin tranquille où personne ne viendrait nous embêter. « venez, nous serons plus tranquille là-bas . » à nouveau je luis souris et me mis à marcher en diréction de l'endroit que je vnais de repérer. J'avais un préssentiment étrange, peut-être que je n'aurais pas dut accepter cettre entre-vue, mais de totue faço maintenant c'était trop tard, je ne pouvais plus reculer.