C'est pas bien ![PV William Murdoch-un 3° classe]

Un bruit de vagues, un battement d'eau contre la coque du navire. Un bruit de vagues, un battement d'eau contre la coque du navire. Un bruit de vagues, un battement d'eau oui bon ça va! On a compris! La mer, ça bouge! Huhu. Belle découverte n'est-ce pas? Ce scénario se répétait depuis le départ du Titanic à Southampton. Lassant n'est-ce pas? A force cela vous donne le mal de mer, ce qui arriva à cette chère Louison.

-"Vives les marins se disait-elle. Comment font-ils pour supporter cela?? Doivent avoir un point spécial dans leur formation? Peut-être...Faudrait que je demande à père."

Allez point positif, du haut du quartier des officiers, elle pouvait, non seulement admirer l'océan, mais aussi, les dauphins qui laissent place au Titanic comme s'il était le prince des océans. Apars ça, elle....s'ennuyait. Après avoir admirer ce beau paysage marin, Louison décida de se promener parmis ces chers compatriotes de 1ère classe! Vêtue d'une magnifique robe bleue marine avec , par-dessus, un léger voile blanc de soie opaque, lui recouvrant les épaules et coiffée d'un chignon. Elle entra dans un bain de "Bonjour! Oh vous êtes bien ravissante!" ou encore "Bonjour Eléonore! Oh veuillez m'excusez, c'est fou ce que vous lui ressemblez à votre défunte mère mise en pars quelques traits et airs qui vient de votre officier de père." Louison s'acouda après la rempart du pont promenade. Regard fixé vers l'horizon. C'est alors qu'elle fût prise de spasme. Là, un
homme alla la voir...

William Murdoch, vêtu de son habituelle tenue d'officier marin, ses boutons magnifiques dorés resplendissant à la très chaude lumière du soleil, coiffé de son honorable casquette maritime, se dirigeait vers une silhouette qu'il avait reconnue parmis toute une armée de premières classes.

Durant une fraction de secondes, il eut cru voir sa très chère Eleonore, et ce fut cela qui lui donna la certitude de l'identité de celle qu'il apercevait. Il savait bien évidemment à quoi elle ressemblait sa très chère et tendre fille, mais c'était la première fois qu'il eut l'honneur de la voir dans une robe très classe, ce genre de robes qu'adorait porter Sa Madame Blackgrey. La ressemblance tant frappante de sa fille avec sa femme lui fit ressurgir de magnifiques souvenirs, et ce fut avec une démarche des plus tranquilles qu'il alla vers la jeune Louison. Il avait énormément de choses à lui dire, des milliers d'informations lui venaient en tête, des informations qui n'auraient jamais tenues sur plusieurs lettres, des informations qu'il se devait de partager avec sa chaire verbalement, des informations qu'il chérissait plus que toutes autres.

Le premier officier, malgré le fait qu'il ne s'agissait pas de sa toute première rencontre avec son trésor au regard océan, eut l'impression que sa gorge se nouait mais il sut réprimer cette sensation, car il se devait de se montrer digne, comme tout père devant son enfant. Il n'avait pas le droit de se liquéfier devant Louison, non, il gardait une posture très droite et une démarche fière.

Se frayant alors un passage parmis toutes les premières classes qu'il saluait avec respect, William arriva enfin devant sa fille.

-"Bien le bonjour Louison, comment va ma fille ?"

Murdoch gratifia sa basique salutation d'un sourire affectueux. Il avait ses mains jointes derrière son dos, et le regard empli d'une lueur comme heureuse tout en étant gênée.

-"Bien le bonjour Louison, comment va ma fille ?"

Murdoch gratifia sa basique salutation d'un sourire affectueux. Il avait ses mains jointes derrière son dos, et le regard empli d'une lueur comme heureuse tout en étant gênée.

Chose typique de Murdoch. C'est d'ailleurs un de ses charmes. En entendant ces mots, Louison eut comme une impression familière, ou plus exactement, l'impression d'entendre une voix familière: celle de son père. Elle se redressa, se retourna, salua son cher père digne d'un beau sourire affectueux. Elle le regarda attentivement, elle se dit:

-"C'est vrai qu'on a des airs en commun; la même forme de la bouche,,même sourire, même teint de peau et le plus frappant: les yeux. Bleu comme l'océan sur lequel le majestueux Titanic voguait."

A présent, tous deux se regardèrent, Louison n'osa pas entamer le dialogue. Elle aussi avait tant de choses à lui dire, à lui demander. Mais aucun son ne put sortir de sa bouche. En réalité, Louison était gênée de sa présence, suite à ce qu'il s'est passé...

*Flash back:

Louison était prise du mal réputé chez les marins: le mal de mer. Elle s'éloigna du quartier des officiers et se pencha sur les barrières de sécurité. Elle voulait évacuer ses envies de spasmes. Quand elle fut à l'arrière du bateau, elle y vut des troisièmes classes crachés, comme ils ont dit, afin d'évacuer la vidange --'. Après cela, vous allez mieux. C'est alors qu'elle décida de faire de même sauf qu'une première classe n'ayant jamais craché de sa vie, eh bien un gros molard en sortit et pendouillait jusqu'à en finir dans une tasse de thé d'un première classe. Horreur et damnation! Elle se redressa de suite, regarda si personne ne l'eut vu et s'en alla comme si de rien n'était sur le pont promenade des firts class.

Voilà pourquoi Louison était gênée de la présence de son père. Elle n'allait pas tout lui dire comme si de rien n'était avec un grand sourire aux lèvres. Quelle honte pour son père. Avait-elle peur que son père ait su ce qu'il s'était passé? Toutefois, celui-ci sembla entamer le dialogue.